Entrée dans la baie de New York
Manhattan et la statue de la Liberté
Le port de Newark
Le nom de Manhattan apparaît pour la première fois en 1609 La colonie de la Nouvelle-Amsterdam naquit
officiellement en 1625 avec l'achat par Pierre Minuit du territoire à ses occupants, les Manhattes, pour 60
florins (24 $) de verroterie et autres colifichets.
Le 2 février 1653, la ville se constitua municipalité6. Le comté de New York a été baptisé en l’honneur du duc d'York.
À cette époque, il coïncidait avec la ville de New York et occupait l’île de Manhattan, comme aujourd’hui.
Au cours du XIXe siècle Manhattan grandit et devint un centre économique, profitant, entre autres, de l'ouverture du canal Érié en 1825. Dans la seconde moitié du siècle, l'arrivée massive des immigrants, qui entraient par Ellis Island aux États-Unis, renforça la position de Manhattan. New York commença dès lors à s'étendre au delà de l'île originelle, mais le borough reste le véritable cœur de la ville. La construction de nombreux gratte-ciel dès le début du XXe siècle témoigne du dynamisme du lieu et accroît sa célébrité dans le monde entier. Il en va de même au niveau culturel. Dans les années 1920, la Renaissance de Harlem fait de ce quartier la "capitale mondiale de la culture noire". Malgré les effets de la Grande Dépression, les années 1930 virent l'édification de plusieurs des plus grands gratte-ciel du monde, dont certains, comme l'Empire State Building ou le Chrysler Building, par leur célébrité, suffisent à symboliser New York.
La ville de Québec a officiellement été fondée par Samuel de Champlain le 3 juillet 1608 sur un site situé à proximité d’un ancien village iroquois autrefois appelé Stadaconé. L’emplacement, connu aujourd’hui sous le nom de place Royale, devient le berceau de la francophonie en Amérique du Nord. Après la tentative manquée de l’amiral William Phips de prendre Québec en 1690, le gouverneur Frontenac fit ériger des remparts à l’ouest de la ville. À la fin du Régime français, le territoire de l’actuelle ville de Québec est contrasté. Bois, villages, champs en culture et pâturages entourent la ville de 8 000 habitants. En avril 1760, le maréchal de Lévis remporte la bataille de Sainte-Foy. Cependant, l’arrivée de renforts britanniques oblige l’armée française à se replier vers Ville-Marie, qui capitule à son tour, en septembre 1760. Trois ans plus tard, la plupart des possessions françaises d’Amérique du Nord sont cédées à la Grande-Bretagne. L’ancienne capitale de la Nouvelle-France devient celle de la "Province of Quebec". Québec a été la capitale du Canada de 1859 à 1865, l’avant-dernière ville à l’être avant son transfert définitif vers Ottawa.
L’arrondissement historique de Québec, le Vieux-Québec, est classé patrimoine mondial par l’UNESCO en 1985. Québec demeure la seule ville en Amérique du Nord à avoir conservé ses remparts qui regroupent de nombreux bastions, portes et ouvrages défensifs ceinturant toujours le Vieux-Québec. La Haute-Ville, située au sommet de la falaise, centre social et administratif, avec ses églises, ses couvents et autres monuments comme la redoute Dauphine, la Citadelle et le Château Frontenac, et la Basse-Ville, avec ses quartiers anciens, forment un ensemble urbain qui est un des meilleurs exemples de ville coloniale fortifiée. (texte tiré de l’histoire de Québec sur http://fr.wikipedia.org )
Le Château Frontenac était un des premiers d'une longue série d'hôtels style "château" construit pour la compagnie ferroviaire Canadien Pacifique, selon les plans de l'architecte américain Bruce Price à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle. Il ouvrit ses portes en 1893. La société ferroviaire a cherché à encourager le tourisme de luxe et à transporter les voyageurs bien nantis dans ses trains. Son architecture s'inspire des châteaux érigés en France vers la période de la Renaissance.
Durant le XXe siècle, le château Frontenac a subi plusieurs transformations dont la plus importante fut l'ajout, en 1926, de l'imposante tour qui trône au milieu du Château et qui lui donne sa silhouette si familière. Ce sont les architectes Maxwell qui en sont les maîtres d'œuvre.
Le traversier Québec - Lévis transporte voyageurs et bateaux toute l'année par n'importe quel temps
Québec, la gare du Palais
La première construction d’une gare à Québec date des années 1850-1860. Agrandie en 1915 pour prendre sa forme actuelle, elle est en exploitation jusqu’en 1974, année où l’on retire les voies du Canadien Pacifique. Les quais, au nombre de huit, étaient parallèles à la rivière Saint-Charles. La gare a été réhabilitée en 1985 et sers désormais aux liaisons Montréal - Québec. Les deux quais reconstruits sont maintenant orientés nord-sud pour connecter avec les voies du Canadien National.
Les chutes Niagara se trouvent sur le tronçon de la rivière éponyme reliant le lac Erié au lac Ontario. Elles sont en fait composées de trois chutes, dont le Fer à cheval est la plus connue et la plus impressionnante. Son débit est de 2800 m3 seconde, ce qui en fait la plus puissante d'Amérique du nord.
La ville de Niagara Falls Tout est prévu pour les touristes
Toronto, la tour du Canadien National
80 % des 3000 habitants de Moosonee est constitué d'autochtones cris. La ville n'est raccordée à aucune route. Les voitures sont donc transportées par chemin de fer
Le Polar Bear Express de l'Ontario Northland relie cinq fois par semaine Moosonnee à Cochrane, plus au sud
Moosonee, la gare
Hearst, la gare Le chemin de fer Algoma Central relie Hearst à Sault St-Marie en passant par Oba
Oba est une base travaux du Canadien National ainsi qu'une gare de bifurcation Seuls une dizaine d'habitant vivent ici, la majorité employés par la compagnie de chemin de fer
La gare est par ailleurs le point de correspondance entre l'Algoma Central et le train "Canadien" reliant Toronto à Vancouver