Une découverte des civilisations méditerranéennes et éthiopiennes
1ère étape
et de la nature africaine
Erigée sur le site de Thèbes, Louxor possède une architecture monumentale magnifique. Elle comprend en fait trois secteurs distincts : la ville de Louxor proprement dite, le village de Karnak, et les monuments et les nécropoles de l'ancienne ville de Thèbes, sur la rive occidentale du fleuve. Depuis les temps gréco-romains, les visiteurs se sont pressés devant les temples de Louxor, de Karnak, de Ramsès II et d'Hatshepsout et les célèbres tombeaux de la vallée des Rois. Le temple de Louxor fut bâti en grande partie par le pharaon Aménophis III à l'emplacement d'un sanctuaire dédié à la triade thébaine d'Amon, Mout et Khonsou, et subit diverses modifications sous les règnes de Toutankhamon, de Ramsès II, d'Alexandre le Grand et de divers empereurs romains. Les temples de Karnak constituent pour leur part un vaste ensemble de sanctuaires, de kiosques, de pylônes et d'obélisques érigés à la gloire des dieux de Thèbes ; le site fait 1,5 km de long sur 800 m de large – la taille de dix cathédrales ! Perfectionné, restauré, remanié, décoré durant 1 500 ans, il fut, à l'apogée de Thèbes, le lieu le plus vénéré de toute l'Egypte (Ipet-Isut, "le plus parfait des endroits").(Texte tiré du site Lonelyplanet)Ambiance de rue au Caire Il existe encore une ou deux lignes de trams Talaat Harb Le quartier Copte du Caire reste le repère identitaire des chrétiens, ainsi que des juifs, de la capitale Sur le plateau de Gizeh se trouve la dernière merveille du monde existante. La construction des pyramides et le Sphinx remonte à l'époque de la IVe dynastie des pharaons égyptiens, c'est-à-dire entre 2625 et 2510 avant J.-C. 2.5 millions de blocs de granits de 2.5 tonnes ont été nécessaires à la construction de la pyramide de Kheops. Ambiance de départ en gare de Gizeh au Caire, direction Luxor et Aswan
Le Chemin de fer Franco-Ethiopien, long de 784 km relie Djibouti à Addis Abeba. La ligne est inaugurée dans sa totalité en décembre 1929, plus de 20 ans de travaux. La compagnie prendra le nom de Chemin de fer Djibouto-Ethiopien en mars 1981. Actuellement, il transporte environ 1 million de voyageurs et 370'000 tonnes de marchandises par an, soit 10% des échanges internationaux sur cet axe. (informations tirées entre autre du site "le Chemin de fer Franco-Ethiopien et Djibouto-Ethiopien"Aswan, la gare Chargement du bateau pour Wadi Halfa Alentours de la gare de Wadi Halfa. Sur la gauche, on aperçoit le village La gare de Wadi Halfa et son point d'eau Le voitures, bien que spartiates, sont bien habitées Addis Abeba, la gare Le monument dédié au communisme Mercato, le marché ouvert d'Addis Abeba, est l'un des plus grands d'Afrique Ambiance à Mercato Les hauts plateaux sont cultivés essentiellement de teff, d'éleusine ou d'ensete (faux-bananiers), mais c'est le café qui occupe la place centrale des échanges internationaux. La culture et la vente du khat, plante hallucinogène, rapporte toujours beaucoup à l'économie éthiopienne. Sur la route entre Addis Abeba et Dire Daoua Entre Addis Abeba et Dire Daoua, un troupeau de chameaux et des paysans battant du teff. 90% de la population active l'est dans le secteur agricole. Dire Daoua, la gare
La rotonde et la réserve d'essieux du dépôt de Dire Daoua Harar, une des rares villes musulmanes du pays. Arthur Rimbaud y vécut entre 1880 et 1890 où il devint gérant d'un comptoir commercial et pratiqua le commerce de l'ivoire, du café, des peaux et de l'or, qu'il échangea contre des tissus de Lyon, des casseroles, de la bibeloterie. Il se livra aussi au commerce des armes, la région étant agitée de nombreux conflits. Prologue, de Suisse au Caire 1ère étape, du Caire à Addis Abeba 2e étape, de Addis Abeba au Cap Le récit Le diaporama Quelques détails pratiques